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Suite au Toast N° 30 que vous venez d’écouter, j’ai pensé que ce serait une bonne idée d’affiner nos connaissances sur le sujet afin de faire les bons choix cosmétiques. Car finalement, ce qui se dit clean ne l’est peut-être pas tant que ça, quand on sait que même des applis soi-disant hyper pros et indépendantes ne nous en protègent même pas… Bref, voici quelques informations et liens utiles.

Je croyais que c’était simple, jusqu’à ce qu’une amie me dise que ce n’était pas si évident pour elle de laisser un commentaire et des étoiles. Alors ok, défi relevé, je vous explique tout de A à Z et en image. Attention : mes explications ne valent que pour les IOS, pour les Androïds, I have no idea, donc si quelqu’un sait comment faire, je serais ravie de poster l’explication détaillée.

Je me rends compte que depuis tout ce temps, je n’ai jamais vraiment écrit un article sur la clean beauty, peut-être parce que ce concept est devenu une tarte à la crème rance et que « ça me saoule ». Eh oui, je ressens de moins en moins de sincérité derrière ce « concept ». Car oui, c’est avant tout un concept, à défaut d’être un label.

Avant, quand je travaillais dans la presse féminine, la femme idéale en couverture était forcément blonde au yeux bleus, et mince et jeune. Pas question de mettre un autre type en avant au risque de faire moins de ventes. La blonde « ça vendait mieux » que la brune ; la rousse, c’était hors de question ; quant à la noire, l’orientale ou celle aux yeux bridés, c’était même pas la peine d’y penser. Chronique d’un racisme ordinaire au pays de la beauty…

Qui l’eut cru ? Deux mois pleins ou presque enfermés H24. Deux mois à ne presque plus sortir, à ne plus pouvoir faire mon running dominical ou à aller à la salle, à communiquer uniquement par visio, par WhatsApp etc. Je ne sais pas vous mais moi, comme je vous le racontais dans un précédent post, j’ai tout de suite cherché à en faire une « opportunité », je voulais voir le verre à moitié plein, confinement oblige. Mais rien ou presque ne s’est passé comme prévu. Maintenant c’est l’heure du bilan !

Supporter l’enfermement n’est pas facile pour tout le monde. Bien sûr on a plein de fenêtres sur l’extérieur, réelles ou virtuelles, sur le monde même. Nous avons la possibilité de sortir, nous ne sommes pas en prison pour la grande majorité d’entre nous. Mais pour autant, on peut quelquefois se laisser gagner par l’anxiété, la mélancolie, le stress ou la tristesse. Alors on fait comment ?

On n’est pas tous égaux devant le confinement. Certains rattrapent des mois de déficit de sommeil. D’autres se jettent dans le sport comme si demain n’existait pas (en même temps, on peut pas dire qu’ils aient tout à fait tort, hein !), d’autres, comme moi, bossent également comme si demain n’existait pas, mais là je me suis bien calmée… Vous voulez faire autre chose que vous agiter comme un hamster dans sa roue? Vous voulez faire autre chose que « binger » des séries sur Netflix jusqu’à l’overdose ? J’ai une idée !

Il fallait s’y attendre. Entre les messages contradictoires et les attitudes désinvoltes des un.e.s et des autres, nous voilà tout.e.s contraint.e.s de rester à la maison. Et encore, je trouve qu’on est vraiment trop limite quand je vois les gens, les mômes et les personnes âgées en particulier, se balader comme si de rien n’était alors qu’elles sont les plus à risque, j’hallucine. Je pense qu’il faut également interdire le sport en extérieur. En Chine personne ne pouvait sortir et surtout personne ne pouvait sortir sans masque. Il n’y avait pas un runneur dehors. Ici, personne n’a de masque ou presque, tout le monde court, se balade et se croise à moins d’un mètre, fait du vélo (« oui mais je suis tout seul ! » 🙁 ) genre « même pas peur »… C’est A-BER-RANT ! Mais c’est un autre débat. Vous êtes en bonne santé ? Le confinement est un moindre mal et peut même constituer une expérience.

Si on m’avait dit que lancer mon podcast m’aurait autant apporté (pas financièrement, hélas…) je ne l’aurais certainement pas cru. Depuis janvier 2018, ça a été rencontres sur rencontres. Humainement, moi qui suis plutôt d’un naturel réservé, j’ai dû prendre sur moi, aller vers des gens que je ne connaissais pas, les solliciter pour des ITW en croisant les doigts pour qu’ils ne refusent pas de me parler. Inspirer la confiance, c’est simple comme un mail… Enfin pas tout à fait quand même.