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Il y a quelques semaines, je me suis rendu compte que mes jambes n’avaient plus l’allure que je leur connaissais, pire que ma souplesse musculaire avait du plomb dans l’aile. Effet collatéral du confinement et conjoint de la péri-ménopause, je me suis retrouvée avec des guiboles moins fermes, la peau flappie en plus d’articulations et de ligaments bien trop raides… Ca m’a fait un choc et j’ai décidé de réagir. Mais bon, pour les miracles, on repassera.

Je suis ravie de vous retrouver. Je saisis l’occasion de cette rentrée pour donner une suite à mes différents posts sur IG à propos de la protection solaire et des UV. J’ai pensé que ce serait intéressant, ou en tous cas logique, d’écrire un article sur la peau après la plage, la campagne, la montagne… Etat des lieux et solutions ad hoc.

Trop de soins tue… la peau. Ok, dit comme ça, ça peut paraître un peu extrême, mais c’est vraiment la réflexion que je me suis faite quand j’ai vu les commentaires à l’un de mes posts Instagram. Ce post, je l’ai publié le vendredi 15 mai. Il parlait du fonctionnement nocturne de la peau. Et je terminais en demandant : « Et vous, c’est quoi votre routine beauté du soir ?

Je ne sais pas si c’est la même chose pour vous, mais en ce moment, je trouve que ma peau est particulièrement sèche. Bizarrement sur le visage tout se passe plutôt bien. Mais sur le corps, c’est le désert d’Atacama depuis quelques semaines que nous vivons enfermés. La faute à qui ? A quoi ? Et comment faire pour ne pas terminer ridée comme une pomme à la fin de cette période ? Car oui, le manque d’eau, c’est aussi un vieillissement accéléré à la clef.

Ca fait un moment que j’ai envie de vous parler de conservateurs. Certaines sont trop jeunes, mais moi qui suis au moins centenaire en années chat, comme vous le savez maintenant (cf. Le jour où j’ai reçu ce courrier…), je me rappelle très bien ce soir-là. Je me rappelle, comme si c’était hier, ce reportage d’Envoyé Spécial qui avait crée un véritable séisme dans la cosmétique. En moins de trois quarts d’heure, il avait mis au banc et même au bout du banc les conservateurs et notamment les parabens pour l’éternité. Ce reportage a marqué un tournant (le début de la fin diront certains…) dans la cosmétique et pas toujours très heureux.

Dans les années 50 et jusqu’aux années 60-70, les femmes de la « bonne société » française se rendaient chez l’esthéticienne et le coiffeur, toutes les semaines. Je me rappelle, quand j’ai débuté dans la presse (dans les années 90, hein 😉 ), j’ai connu des rédac’ chefs pour qui il était impensable de se faire un shampooing elles-même et je ne vous parle même pas du brushing ! En même temps, elles ne payaient pas, c’était pratique.