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Trop de soins tue… la peau. Ok, dit comme ça, ça peut paraître un peu extrême, mais c’est vraiment la réflexion que je me suis faite quand j’ai vu les commentaires à l’un de mes posts Instagram. Ce post, je l’ai publié le vendredi 15 mai. Il parlait du fonctionnement nocturne de la peau. Et je terminais en demandant : « Et vous, c’est quoi votre routine beauté du soir ?

En attendant le « fameux » crash test de 60 millions de conso (c’est ironique, hein), je me suis dit que faire un post sur l’utilité des protections solaires serait bien à propos. D’abord parce que les journées ensoleillées ont été extrêmement nombreuses depuis début mars, ensuite parce qu’en ressortant de nos tanières, il serait peut-être intéressant de savoir si se protéger des UV en ville a véritablement un sens.

Qui l’eut cru ? Deux mois pleins ou presque enfermés H24. Deux mois à ne presque plus sortir, à ne plus pouvoir faire mon running dominical ou à aller à la salle, à communiquer uniquement par visio, par WhatsApp etc. Je ne sais pas vous mais moi, comme je vous le racontais dans un précédent post, j’ai tout de suite cherché à en faire une « opportunité », je voulais voir le verre à moitié plein, confinement oblige. Mais rien ou presque ne s’est passé comme prévu. Maintenant c’est l’heure du bilan !

Mine de rien, rester des semaines entières enfermé.e.s, c’est pas forcément bon pour le glow. Alors que faire ? Bon, on peut forcer sur le maquillage, en particulier à la sortie du confinement, mais je ne suis pas certaines que ça fasse la blague ou même que votre peau apprécie ce brutal retour au réel. Et je la comprends. Et sinon, la vitamine C, on en parle ?

Supporter l’enfermement n’est pas facile pour tout le monde. Bien sûr on a plein de fenêtres sur l’extérieur, réelles ou virtuelles, sur le monde même. Nous avons la possibilité de sortir, nous ne sommes pas en prison pour la grande majorité d’entre nous. Mais pour autant, on peut quelquefois se laisser gagner par l’anxiété, la mélancolie, le stress ou la tristesse. Alors on fait comment ?

On n’est pas tous égaux devant le confinement. Certains rattrapent des mois de déficit de sommeil. D’autres se jettent dans le sport comme si demain n’existait pas (en même temps, on peut pas dire qu’ils aient tout à fait tort, hein !), d’autres, comme moi, bossent également comme si demain n’existait pas, mais là je me suis bien calmée… Vous voulez faire autre chose que vous agiter comme un hamster dans sa roue? Vous voulez faire autre chose que « binger » des séries sur Netflix jusqu’à l’overdose ? J’ai une idée !

Je ne sais pas si c’est la même chose pour vous, mais en ce moment, je trouve que ma peau est particulièrement sèche. Bizarrement sur le visage tout se passe plutôt bien. Mais sur le corps, c’est le désert d’Atacama depuis quelques semaines que nous vivons enfermés. La faute à qui ? A quoi ? Et comment faire pour ne pas terminer ridée comme une pomme à la fin de cette période ? Car oui, le manque d’eau, c’est aussi un vieillissement accéléré à la clef.

Le maquillage est sans doute ce qu’il y a de moins clean dans les cosmétiques. Je laisse de côté les formules, ce qui m’intéresse c’est le packaging. Verra-t-on un jour la mort du rouge à lèvres « du temps d’avant » ? Ce temps où les marques de luxe concevaient de beaux objets. C’est même ce qui les différenciait des marques de make up mainstream. Dans le luxe du « temps d’avant », même un simple étui en plastique noir laqué (avec un double « C » sur le capot tout de même) faisait le job. Mais il y a un truc qui n’allait vraiment pas. Et qui ne va toujours pas…

A l’heure où les consommateurs rejettent les conservateurs, la solution serait soit d’en choisir des naturels, soit de pouvoir en réduire la quantité, soit de pouvoir s’en passer. Mais il vaudrait mieux oublier la dernière solution (voir mon dernier post Conserver ou simplifier). Il existe cependant une autre voie. Entre process de fabrication inspirés de la pharmacie et packagings innovants, ce ne sont pas les options qui manquent.