Episode 66. Vous ne le savez peut-être pas, mais la plupart des entreprises françaises de cosmétiques sont regroupées dans la FEBEA, la Fédération des Entreprises de la Beauté.
Parenthèse shiatsu
Ca faisait longtemps ! Aujourd’hui, je vous emmène à la découverte d’un lieu ! Je n’ai jamais le temps d’arrêter le temps, même si je sais qu’il faut que je le fasse, ces moments passent toujours à la trappe. Prendre du temps pour moi, se résume souvent à faire du sport, rarement autre chose. Même parcourir une expo, je ne le fais plus. Et vous, c’est pareil ?
Bref, quand on m’a proposé de tester un soin chez Suisen, je me suis dit, why not ? Déjà rien qu’en découvrant façade, on sent qu’on ne va pas entrer dans un endroit lambda ! Cet espace ressemble à une maison japonaise traditionnelle, en bois brûlé. L’intérieur a été décoré dans la tradition d’un ryokan traditionnel. Du bois et de la paille, du sol au plafond en passant par les cloisons. On est au Japon, c’est évident.
En rituel de bienvenue, on vous offre une tasse de thé vert japonais labellisé bio. Côté soin, les quatre protocoles sont inspirés du shiatsu. Il y a le traditionnel, sur tatami (posé au sol), le Jaku qui se fait avec de l’huile. Le Sei qui est le seul soin visage tonifiant pour la peau et le Kei qui est le soin corps raffermissant. C’est celui que j’ai fait.
Une heure de massage, précédé d’un étrillage doux super agréable. Un enchaînement de pétrissages et de lissages le long des méridiens… Je me suis endormie comme d’hab’, je lâche prise très vite. La masseuse est hyper attentive, on n’est pas là pour avoir mal, même si c’est un soin raffermissant. Quand on sort, on a l’impression que ça a duré 3 heures.
J’avoue que je suis sortie hyper relaxée. C’était si étrange de sortir et de réaliser que je n’étais pas à Tokyo (où je n’ai jamais mis les pieds d’ailleurs) mais à Paris. Il y a quelque chose de profondément authentique dans la Maison Suisen. Alors, au lieu de m’engouffrer dans le métro pour rentrer chez moi, j’ai continué à prendre du temps pour moi. Je me suis m’arrêtée dans la galerie juste en face et j’ai discuté art et musique avec la galeriste, à défaut de pouvoir acquérir l’un des super tirages photos accrochés aux murs.
L’effet anti-stress a duré plusieurs jours. Même mon mal de dos chronique s’est carapaté pendant quelques jours, l’autre bonne nouvelle !
Et vous, avez-vous des adresses secrètes qui vous font « décoller » et vous transportent ? Un hammam ? Un spa ? Un institut ?
Maison Suisen 7 rue de Thorigny 75003 Paris. Infos sur le site Maisonsuisen
Episode 65. Les changements de vie, les parcours pas lisses, vous le savez, j’adore. Anne-Sophie Nardy a fait ce que beaucoup de parisiens rêvent de faire. Elle a quitté Paris pour Bordeaux, avec mari et enfants. Et dans la foulée, elle a choisi de lancer une marque de soins différente.
Episode 64. Un jour Fleur Phélipeau a décidé qu’elle traiterait la peau de l’intérieur et non de l’extérieur, comme le font les cosmétiques. Elle était persuadée que son idée était la bonne, elle a crée D-Lab et bien lui en a pris !
Des formules revues et corrigées
Plus polluant qu’un vernis ou qu’un dissolvant, tu meurs. On ouvre un flacon, on comprend tout de suite. Sans parler de certains ingrédients néfastes pour notre propre santé. Pourtant des alternatives existent et il faut s’en saisir ! Une fois n’est pas coutume, j’ai choisi de vous faire un petit débrief de mes récentes découvertes dans ce domaine.
Remover to go de Nailmatic. Son originalité, c’est sa galénique : c’est une crème dissolvante, ce qui est plutôt inédit. encore que, je me souvienne avoir reçu un jour un mini dissolvant en tube, mais tellement chimique ! Celui-ci contient des huiles, des cires, mais également entre autres solvants, du propylène carbonate (en 1ère place de la liste Inci), plus quelques ingrédients décriés, mais pas toujours pour de « bonnes raisons ». Dans formule, cependant, pas mal contient pas mal de cires et d’huiles aussi. Ce n’est donc pas le plus clean des dissolvants, mais à sa décharge, il est hyper pratique et élimine le vernis très rapidement sans dessécher les ongles.
L’Eau Dissolavante Green de Manucurist. Elle n’est pas hyper récente (sortie courant 2018), mais c’est le produit le plus clean que je connaisse dans cette catégorie. C’est la suite logique des vernis green, lancés par la marque l’année dernière et dont je vous parlais dans le post Les vernis Green de Manucurist, ils sont comment ? . Cette eau est constituée à 100% d’ingrédients d’origine végétale, comme des extraits de blé, de maïs, de sucre de canne. Zéro acétone, zéro acétate d’éthyle (tout est écrit dessus !). Revers de la médaille, il ne va pas éliminer le vernis d’un seul coup, la rapidité n’est pas son fort. En revanche, si vous vous voulez avoir des ongles sains à la fin de l’opération, c’est lui qu’il vous faut. Question de cohérence aussi : vouloir un produit hyper actif pour retirer un vernis clean, n’a aucun sen, on est d’accord…
Alerte nouvelle marque : le vernis Gitti. C’est une toute jeune marque allemande. Sa créatrice, Jenni Baum-Minkus, travaillait chez un géant du soda (vous savez celui qui aurait inventé le Père Noël…) avant de « voir la lumière » et de faire un virage à 180°. Elle est devenue prof de yoga et s’est lancée dans le business de la beauté en créant il y a quelques mois, un vernis à 55% constitué d’eau et zéro ingrédient chimique. A peine lancés, les vernis de Jenni ont cartonné au point qu’elle s’est retrouvée sold out (en rupture de stock) en quelques jours. Seulement 4 produits (dont une base) et de jolies couleurs dans les rouges, garantis sans pigment d’origine animale (cf. mon post sur les cochenilles). Le seul reproche qu’on pourrait lui faire : son manque de brillance. Mais il faut savoir ce que l’on veut, hein… Avoir le même pouvoir plastifiant qu’un ingrédient chimique n’est pas possible pour l’instant. Et puis, est-ce bien souhaitable, finalement ? Une Solution : lui ajouter un top coat green lui aussi, comme celui de Manucurist. (Gitti est une exclu Bon Marché).
Et last but not least, les vernis All Tigers arrivent bientôt. On en reparle rapidement j’espère…
Episode 63. Isabelle Guyomarch a survécu à un cancer du sein. Cette épreuve l’a marquée profondément on s’en doute, mais surtout, elle lui a donné la force de créer une marque de cosmétiques : Ozalys.
Episode 62. Aujourd’hui, je reçois Simon Ménard. Avec ses trois associés, il a imaginé Nidé (comme Nid à idées), un concept hyper original qui consiste à co-créer des produits de beauté. Et là où c’est fort, c’est que ce n’est pas un pro de la beauté qui vous demande votre avis sur son idée. Non, là c’est vous qui portez le projet, c’est vous la créatrice ou le créateur, c’est vous qui proposez votre produit de rêve…
Episode 61. D’elle, on sait qu’elle a crée Les Tigres Yoga Clubs, des studios de yoga modernes et chics situés dans les beaux quartiers de Paris dans un premier temps. On sait peut-être aussi qu’elle est passionnée de yoga depuis une vingtaine d’années. Mais c’est à peu près tout.
Episode 60. Les suites d’un problème de santé survenu pendant sa grossesse ramènent Sandrine vers la terre de sa mère sino-malgache. Sur place, elle découvre le pouvoir guérisseur de certaines plantes et les vertus cosmétiques d’autres.
Episode 59. En discutant avec Julia, une fidèle auditrice de Beauty Toaster, fan absolue de beauté, je me suis rendu compte qu’elle avait des tas de questions intéressantes sur les techniques de médecine esthétique et qu’elle ne trouvait aucune réponse satisfaisante.