Aujourd’hui, je reçois Marie Dehlinger, spécialiste en sécurité et réglementation cosmétique et surtout ultra fan de beauté. Qui de mieux pour répondre à vos interrogations ?
Aujourd’hui, on parle hygiène sur Beauty Toaster. Pour Pascale de Lomas, la co-créatrice de Biosme, tout a commencé avec une histoire de sueur et de flore bactérienne. L’idée était de concevoir une formule de déo plus clean, alternative au déodorant classique et à l’anti-transpirant avec sels d’aluminium.
Avant, quand je travaillais dans la presse féminine, la femme idéale en couverture était forcément blonde au yeux bleus, et mince et jeune. Pas question de mettre un autre type en avant au risque de faire moins de ventes. La blonde « ça vendait mieux » que la brune ; la rousse, c’était hors de question ; quant à la noire, l’orientale ou celle aux yeux bridés, c’était même pas la peine d’y penser. Chronique d’un racisme ordinaire au pays de la beauty…
Agathe et Charline sont pharmaciennes de formation et passionnées de cosmétiques. Un jour, elles décident de se pencher sur la problématique du rouge-à-lèvres. Formules pas clean, étuis en plastique non recyclable, bref rien de très glorieux derrière le produit phare du maquillage.
Trop de soins tue… la peau. Ok, dit comme ça, ça peut paraître un peu extrême, mais c’est vraiment la réflexion que je me suis faite quand j’ai vu les commentaires à l’un de mes posts Instagram. Ce post, je l’ai publié le vendredi 15 mai. Il parlait du fonctionnement nocturne de la peau. Et je terminais en demandant : « Et vous, c’est quoi votre routine beauté du soir ?
C’est en voyant sa mère transvaser ses vernis les uns dans les autres pour ne pas avoir à jeter à la poubelle des flacons encore remplis que Maëva a eu l’idée de créer un pinceau malin. Mais en plus du gâchis, il y avait d’autres problèmes à régler : la toxicité des vernis rejetés dans la nature et l’absence de propositions pour des flacons recyclables.
Aujourd’hui, je vous emmène à la découverte d’une jolie marque belge. Créée par un coiffeur réputé et son épouse esthéticienne, Roger et Marion Delbôve, la marque éponyme a vu le jour à la fin des années 60. Pas toute jeune, certes, mais tellement en avance sur son temps.
En attendant le « fameux » crash test de 60 millions de conso (c’est ironique, hein), je me suis dit que faire un post sur l’utilité des protections solaires serait bien à propos. D’abord parce que les journées ensoleillées ont été extrêmement nombreuses depuis début mars, ensuite parce qu’en ressortant de nos tanières, il serait peut-être intéressant de savoir si se protéger des UV en ville a véritablement un sens.
Aïmara Coupet n’est pas une novice dans la beauté et dans le maquillage en particulier. Au cours de sa carrière, elle a su développer une vraie expertise dans les produits du teint. Pas étonnant que quelques années plus tard, elle décide de créer B+Radiance, sa propre marque de fonds de teint.
Qui l’eut cru ? Deux mois pleins ou presque enfermés H24. Deux mois à ne presque plus sortir, à ne plus pouvoir faire mon running dominical ou à aller à la salle, à communiquer uniquement par visio, par WhatsApp etc. Je ne sais pas vous mais moi, comme je vous le racontais dans un précédent post, j’ai tout de suite cherché à en faire une « opportunité », je voulais voir le verre à moitié plein, confinement oblige. Mais rien ou presque ne s’est passé comme prévu. Maintenant c’est l’heure du bilan !